Falaise de Bandiagara, sur le plateau central du Mali
Les villages des Dogons occupent les flancs de la falaise, au pied de l’escarpement abrupt, entre blocs épars et énormes éboulis.
Des constructions, en terre et en pierre sèche aux greniers surmontés d'un toit de chaume amovible pour permettre un séchage rapide des grains.
Maisons en banco, mélange d’argile et de paille. Enceinte extérieure faite de terre et de pierres qui délimite le territoire familial.
Maïs, sorgho et surtout mil, principale culture des Dogons sont mis à sécher au soleil, devant la concession familiale
Les habitations troglodytes des Tellems, prédécesseurs des Dogons servent parfois de cimetières mais aussi d’entrepôts : grains, masques et statues.
Sur le plateau, une piste serpente au milieu d’un paysage minéral ; le transport des denrées est toujours traditionnel.
A la fin de la saison sèche, les agriculteurs africains mettent le feu aux hautes herbes. Les cendres enrichissent le sol.
Réfugiés peuls et touaregs chassés par les grandes sécheresses de 1973-75. Après avoir perdu leurs troupeaux, ils campent aux portes de Niamey (Niger).
Pour déséchouer le bateau sur le Niger !
Un autre essai de déséchouage
Rencontre sur le pont de Bamako
Tata Somba à la frontière du Togo et du Bénin
Intérieur d'un tata Somba
Termitière : 1,60 m