Bidonville et contrastes urbains

A l’arrière de maisons aisées, se sont installés des migrants récents qui n’ont trouvé d’espace que sur le fleuve. Des maisons sur pilotis plantées dans le lit du Mékong, construites avec du matériel de récupération ou des tôles peu chères. Leurs occupants, propriétaires d’une barque sillonnent le fleuve, proposant leurs services aux commerçants, clients, touristes…

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